Unjeune homme est resté bloqué avec sa voiture tout près d'une voie ferrée, dans la nuit de vendredi à samedi, à Saint-Germain-en-Laye.
Edward Hopper est un peintre américain. Il est né le 22 juillet 1882 à Nyack, un village situé dans l’État de New York. En 1900, il s’inscrit à la prestigieuse New York School of Art. Afin de se perfectionner, Edward Hopper effectue plusieurs séjours en Europe. Il se rend dans plusieurs grandes villes, telles que Paris, Berlin, Londres, Amsterdam, Bruxelles… Ses voyages sont l’occasion de se confronter aux œuvres des grands maîtres. Épris de la capitale française, Edward Hopper partage ses expériences parisiennes dans ses œuvres de jeunesse. En 1908, il installe son atelier à New York. Il gagne sa vie en travaillant comme illustrateur et dessinateur publicitaire. L’année 1924 est une année charnière Edward Hopper prend la décision de rompre avec sa nostalgie française. À partir de ce moment, il devient le chroniqueur de la vie de ses contemporains américains. Si, Edward Hopper s’est essayé à peindre des paysages, il se concentre désormais sur des scènes d’intérieur qui évoquent le silence et la solitude, comme Nighthawks » 1942. Ses huiles sur toiles sont le reflet d’un pays en pleine mutation économique et sociale. The House by the Railroad » La Maison au bord de la voie ferrée » est une oeuvre maîtresse. En 1930, elle entre dans les collections du Museum of Modern Art de New York. La même année, Early Sunday Morning » Tôt un dimanche matin » entre dans les collections du Whitney Museum of American Art. En 1933, le Museum of Modern Art de New York organise la première rétrospective de l’artiste. En 1945, Edward Hopper est élu membre du National Institute of Arts and Letters. En 1954, il est invité à la Biennale de Venise. Edward Hopper est nommé Doctor of Fine Arts » de l’Art Institute of Chicago, en 1955. Au cours de sa carrière, il recevra de nombreux titres honorifiques. Le 15 mai 1967, Hopper décède dans son atelier à New York. Bureau, la Nuit Huile sur toile 56,4 x 63,8 cm – 1940 – Edward Hopper a été victime de son succès et son nom évoque d’emblée des posters décorant des chambres d’étudiant ou des jaquettes de livres. Cela est injuste et s’explique en partie par le fait que ses oeuvres ne nous sont généralement connues que par des reproductions. En effet, conservés essentiellement dans des collections d’outre-atlantique en Europe seul le Museo Thyssen-Bornemisza en possède une oeuvre importante, nous n’avons eu qu’assez rarement l’occasion d’appréhender dans leur réalité matérielle les tableaux de cet artiste à la fois populaire te sous-estimé, voire méprisé. Oeuvres qui ne cessent de fasciner pour des raisons souvent contradictoires faisant aussi de lui l’encombrant père putatif du minimalisme, mais dans un sens littéraire plutôt que pictural. C’est le paradoxe d’Edward Hopper que de séduire alors qu’il a conçu une oeuvre à l’écart de tout désir de séduction. chez lui, l’intimité se métamorphose en intemporalité sous la forme d’un compte rendu désarmant de la réalité, à la fois abstraite et enracinée dans la plus banale quotidienneté, qui, ainsi qu’il le déclara, constitue la transcription la plus exacte possible de ses impressions les plus intimes de la nature ». Que voyons-nous ici ? Une pièce sans luxe qui ressemble à une grande boite, dont la porte n’a pas été refermée, un homme d’âge moyen assis à son bureau, lisant un document, et une femme aux cheveux ramenés en chignon, devant un meuble classeur, dont un tiroir est à moitié ouvert, qui tourne la tête vers l’homme mais regarde en fait vers le sol, où une feuille est tombée. Dans l’angle gauche, un autre bureau, sur lequel est une machine à écrire la femme est probablement la secrétaire de cet homme au strict complet gris. Dans ce cas, pourquoi n’a-t-elle pas refermé la porte après être entrée ? Mais c’est peut-être lui qui vient d’arriver … Ce spectacle banal nous est montré en une plongée très accentuée, tel que vu depuis un métro aérien, comme il y en a tant à New York. La lumière arrive par la rue, sur laquelle ouvre la fenêtre au store à demi baissé, et dessine une zone plus claire sur le mur de couleur crème. A la réflexion, cet homme et cette femme sont habillés comme s’ils sortaient d’un dîner en ville ou d’un spectacle ; surtout elle, dans sa robe fort moulante laissant voir le genou, et excessivement maquillée, avec du fard bleu aux paupières et un rouge à lèvre rouge sanglant. Il ne se passe rien, et pourtant, sans qu’on sache l’expliquer, on ressent quelque chose de dramatique dans cette atmosphère ces deux personnages ont-ils pénétré dans ce bureau de nuit afin d’y dérober un document ? Cela expliquerait la porte laissée ouverte pour leur permettre d’entendre d’éventuels bruits de pas dans le couloir. La thèse n’est pas absurde la femme fouille dans les classeurs et l’homme lit un à un des documents qu’il repose sur le côté du bureau car ce ne sont pas ceux qui l’intéressent. un minuscule détail légitimerait cette interprétation dans le coin inférieur gauche, sur le bureau parfaitement rangé comme après une journée de travail, il n’y a pas de papier glissé dans la machine à écrire, ce qui nous dit que la secrétaire, si c’est bien une secrétaire, ne s’apprête pas, à cette heure tardive, à prendre une lettre en dictée. En effet, on a l’impression que Hopper, contrôlant strictement la composition de son tableau, veut nous dire quelque chose en nous fournissant le moins d’éléments d’information possible. Est-ce pour laisser largement ouvert le champ des interprétations ? En tout cas, nous n’avons aucun doute cette scène est plausible, et pourtant nous ne savons pas ce qu’elle représente au-delà des apparences. Un peu comme dans un film noir américain des années 1930, où les personnages, réduits à des silhouettes, semblent flotter dans des décors plutôt glauques. Rapprochement d’autant plus pertinent que la scène nous est présentée avec trois sources de lumière, comme au théâtre ou au cinéma à l’époque où ce tableau fut peint, c’est souvent dans d’anciens théâtres que les films étaient projetés, avec des attractions sur scène pendant l’entracte. Mais, quant à en découvrir le sens, c’est une autre affaire ! Misère de la vie de bureau ? Ambiguïté des relations entre un patron et son employée sur fond d’aliénation sexuelle ? Monde sourd à la catastrophe qui vient de s’abattre de l’autre côté de l’Atlantique ? Désolation de la vie quotidienne, où chacun joue un rôle de pure fiction dans ce qu’Arthur Miller appelait le cauchemar climatisé » américain ? S’il y a fort à parier que nous ne trouverons pas la clef de l’énigme dans ce bureau, nous pourrons nous consoler en lisant dans un carnet cette annotation de Hopper à propos de ce tableau j’espère que cela n’évoquera aucun fait précis, car il n’y en a pas. » Cette mécanique à la précision d’horloge ne produirait donc aucun sens ? Oui, c’est peut-être cela son message, pour autant qu’il importe de le débusquer. Comme au cinéma, lorsque des images naissent de réalités successives, qui disparaissent lorsque des images naissent de réalités successives, qui disparaissent lorsque se rallument les lumières de la salle et que l’on revient à la réalité. Maison au bord de la voie ferrée" Edward Hopper, 1925. Nous vous présentons aujourd'hui l'une des peintures les plus célèbres d'Edward Hopper. Cet artiste étonnant dans ses scènes cinématographiques emblématiques produisit des vues urbaines, des paysages et des intérieurs observés de près, tous peu peuplés de personnages ou entièrement dépourvus de ceux-ci. Bien Les commentaires sont issus essentiellement de l'analyse de deux historiennes d'Art Françoise BARBE-GALL, diplômée de l'Ecole du Louvre et de La Sorbonne Alix PARE, diplômée de l'Ecole du Louvre Ci-dessous les exemples de tableaux analysés Sandro BOTTICELLI La Naissance de Vénus 1484-1485 - Galerie des Offices - FLORENCE PERUGUIN Mariage de la Vierge 1500-1504 - Musée des Beaux-Arts - Caen - FRANCE Hans HOLBEIN Les Ambassadeurs 1533 - National Gallery – Londres - ROYAUME-UNI TINTORET L’origine de la Voie Lactée Vers 1575 - National Gallery – Londres - ROYAUME - UNI Nicolas POUSSIN Danse sur la musique du temps 1634 – 1636 - Wallace Collection – Londres - ROYAUME-UNI Jean-Baptiste GREUZE Le fils puni 1778 - Musée du Louvre – Paris - FRANCE Joseph-Benoît SUVEE L’Invention de l’art du dessin 1791 – Groeningemuseum – Bruges - BELGIQUE Jacques-Louis DAVID Napoléon dans son bureau 1812 - National Gallery of Art – Washington - ETATS-UNIS J. Ma. William TURNER Le Dernier Voyage du Téméraire 1839 - National Gallery – Londres - ROYAUME – UNI Eugène BOUDIN Sur la plage, coucher de soleil 1865 – Metropolita Museum – NEW-YORK John Everett MILLAIS Le Jeune Aveugle 1856 - Birmingham Museums & Art Gallery – Birmingham - ROYAUME-UNI Claude MONET Les Femmes au Jardin 1866 - Musée d’Orsay -Paris - FRANCE Edouard MANET Portrait d’Emile Zola 1868 - Musée d’Orsay – Paris - FRANCE Edgar DEGAS L’orchestre de l’Opéra Vers 1870 - Musée d’Orsay – Paris – FRANCE Claude MONET Impression, soleil levant 1872 – Musée Marmottan – Paris - FRANCE Gustave CAILLEBOTTE Une rue de Paris par temps de pluie 1877 - Art Institut of Chicago - Chicago - ETATS UNIS Vincent VAN GOGH Iris 1889 - Paul Getty Museum - Los Angeles - ETATS – UNIS Jean-Léon GEROME Pygmalion et Galatée Vers 1890 - Metropolitan Museum of Art - New-York - ETATS-UNIS Pablo PICASSO L’acrobate à la boule 1905 - Musée Pouchkine – Moscou - RUSSIE G. Wesley BELLOWS Rencontre de boxe chez Sharkey 1909 - Cleveland Museum of Art – Cleveland - ETATS-UNIS Gustav KLIMT Le Baiser 1907-1908 - Galerie Belvedere – Vienne - AUTRICHE Vassili KANDINSKY Tableau avec archer 1909 - Museum of Modern Art - ETATS-UNIS Frantisek KUPKA Le Piano 1909 - Galerie Narodni – Prague - REPUBLIQUE TCHEQUE Henri MATISSE La Conversation 1909-1912 - Musée de l’Ermitage - Saint-Pétersbourg - RUSSIE Marcel DUCHAMP Nu descendant l’escalier n°2 1912- Coll. L. & W. Arensberg - Museum of Fine Arts – Philadelphie - Giorgio DE CHIRICO Place d’Italie 1913 - Art Gallery of Ontario - Toronto - CANADA George BRAQUE Compotier et cartes 1913 - Musée Nationale d’art Moderne-Centre G. Pompidou – PARIS - FR. Félix VALLOTON Verdun 1917 - Musée de l’Armée - Hôtel national des Invalides – Paris - FRANCE Edward HOPPER Maison près de la voie ferrée 1925 - Museum of Modern Art - New-York - ETATS-UNIS René MAGRITTE L’Homme au journal 1927-1928 - Tate Gallery – Londres - ROYAUME-UNI Pablo PICASSO La Crucifixion 1930 - Musée Picasso – Paris - FRANCE René MAGRITTE La Condition humaine 1933 - The National Gallery of Art – Washington - ETATS-UNIS Salvador DALI Rêve causé par le vol d’une abeille autour d’une pomme-grenade une seconde avant l’éveil 1944 - Collection Thyssen-Bornemisza – Madrid - ESPAGNE Nicolas DE STAEL Parc des Princes 1952 - Collection particulière Willem DE KOONING Woman, I Femme I 1950-1952 - Museum of Modern Art - New-York - ETATS-UNIS Antoni TAPIES Pintura 1955 – Museo Nacional Centreo de Arte Reina Sofia – Madrid – ESPAGNE Sam FRANCIS The Whiteness of the Whale 1957 – Albright Knox Art Gallery – Buffalo – ETATS-UNIS Robert RAUSCHENBERG Pilgrim 1960 – Kunsthalie – Hambourg – ALLEMAGNE David HOCKNEY A bigger splash 1967 – Tate Gallery – Londres – ANGLETERRE Brice MARDEN Thira 1979-1980 – Musée National d’Art Moderne – G. Pompidou – Paris – FR. Robert RYMAN Chapter 1981 - Musée National d’Art Moderne – G. Pompidou – Paris – FRANCE Lucian FREUD Large interior 1981-1983 – Collection privée Andy WARHOL Camouflage - Joseph Beuys 1986 – Galerie Berndt – Munich – ALLEMAGNE Lœil d'Edward Hopper s'est porté sur le changement de la société américaine au cours de la première partie du 20ème siècle. Le Grand Palais présente, aujourd'hui, une rétrospective inédite en France et consacrée à l’œuvre d'Edward Hopper. Elle sera visible jusqu'au 28 janvier 2013, l'occasion de découvrir enfin les célèbres tableaux autrement qu'en posters. Maison au bord de la voie ferrée Maison au bord de la voie ferrée House by the Railroad en anglais est un tableau de l'artiste américain Edward Hopper réalisé en 1925. Il s'agit du premier succès artistique et commercial du peintre[1]. Le tableau est exposé au MoMa à New-York[2]. Description[modifier modifier le code] Maison au bord de la voie ferrée est une peinture à l'huile sur toile. Ce tableau de 61 × 73,7 cm[2] représente une demeure victorienne au bas de laquelle passent des rails de train, comme l'indique son titre. L'élément central du tableau est la grande demeure grise sur la façade de laquelle s'étendent des ombres. De nombreuses fenêtres percent les murs de cette maison inventée de toutes pièces par Hopper qui avait pourtant l'habitude de peindre des paysages réels[3]. L'arrière-plan est vide et ne montre qu'un ciel gris-bleu sur lequel se découpe la maison. Au premier-plan, la teinte rouille des rails et du ballast tranche avec les couleurs froides de la maison et du ciel. Il en résulte une très nette opposition entre la voie ferrée aux couleurs franches, qui suit une ligne horizontale, et la maison aux couleurs plus froides qui suit une ligne de construction verticale[4]. Interprétation[modifier modifier le code] Le thème de l'isolement[modifier modifier le code] On retrouve dans ce tableau le thème central des peintures de Hopper qui est l'aliénation de la vie moderne. Loin de l'effervescence qui caractérise la vie américaine dans les années 1920, Hopper s'attache à peindre l'isolement qui résulte de la vie moderne. Dans Maison au bord de la voie ferrée, l'opposition est clairement marquée entre les rails, symboles de la vie moderne et la maison victorienne, vestige d'un passé qui disparait peu à peu[5]. Le jeu d'ombre sur la façade de la maison lui donne un air mélancolique et peut faire penser au spectateur qu'elle est abandonnée, bien que la présence de rideaux à moitié relevés puisse faire penser l'inverse. Les lignes de forces et les couleurs utilisées les opposent et renforcent donc le sentiment d'isolement de la maison. La tension entre nature et vie moderne[modifier modifier le code] L'arrière-plan désolé, sans vie, ni nature contribue à la sensation d'isolement de la maison. On peut y voir une volonté d'Edward Hopper de montrer à travers cela l'éloignement de la nature et donc de l'univers rural au profit de la vie moderne qu'offrent les villes. La maison, signe du passé et de la vie rurale, côtoie donc la vie moderne représentée à travers les rails sans pour autant que les deux ne semblent correspondre entre-elles. À travers elles s'opposent également le silence et le bruit que représentent respectivement la maison et les rails. Hopper dépeint donc une nature abandonnée, absente, qui s'efface au profit de la vie moderne. L'isolement et la mélancolie qui en résulte et que l'on ressent à travers ce tableau montre la vision critique du peintre vis-à-vis des progrès techniques et de la vie moderne de 1925 Exposition Exposé en 1925, année de sa création, l’œuvre est achetée l'année suivante par le collectionneur Stephen Carlton Clark en. Il en fait don en 1930 au MoMa qui vient tout juste d'ouvrir ses portes[1]. Maison au bord de la voie ferrée y est toujours exposé depuis. Entre le 11 octobre 2017 et le 5 mars 2018, le tableau est déplacé à l'occasion de l'exposition Être moderne Le MoMa à Paris[6] à la Fondation Louis Vuitton à Paris. Réception critique[modifier modifier le code] Lors de son exposition en 1925, le tableau est acclamé par la critique. Il est le premier tableau de Hopper à être reconnu artistiquement et commercialement par des critiques qui saluent la puissance formelle et émotionnelle de l’œuvre[1]. Influence[modifier modifier le code] Alfred Hitchcock dit avoir été influencé par ce tableau pour la représentation de sa maison dans Psychose[7] Il a inspiré George Stevens pour Géant[8] Différentes versions de cette maison ont été créées pour le dessin animé La Famille Addams[9]. Ce tableau à également inspiré les "Imagineers" concepteurs d'attraction de Disneyland pour l'architecture du Phantom Manor à Paris. Bibliographie[modifier modifier le code] en Joseph Anthony Ward, American Silences The Realism of James Agee, Walker Evans, and Edward Hopper, Transaction Publishers, 2010 [10] Notes et références[modifier modifier le code] ↑ a b et c Edward HOPPER – La maison au bord de la voie ferrée L'Encyclopédie sonore des Arts Visuels », sur consulté le 21 juin 2018 ↑ a et b en Edward Hopper. House by the Railroad. 1925 MoMA », sur consulté le 17 juin 2018 ↑ Fre », sur ↑ en House by the railroad », sur ↑ en house by the railroad », sur ↑ Exposition Etre moderne Le MoMA à Paris », sur consulté le 21 juin 2018 ↑ Peinture et littérature au XXe siècle sur Google Livres ↑ Art Direction and Production Design sur Google Livres ↑ Maison près de la voie ferrée de Edward Hopper », sur consulté le 17 juin 2018 ↑ American Silences sur Google Livres Liens externes[modifier modifier le code] Ressource relative aux beaux-arts en Museum of Modern Art EdwardHopper, Maison, vue de côté, 1931, Aquarelle sur papier, 50. 8×71. 2 cm, Madrid, Musée Thyssen-Bornemisza Dans ce tableau, tout oppose l'espace de la maison et celui des rails: opposition des lignes verticales de la maison et, celles, horizontales des rails mais aussi opposition des tonalités entre les couleurs froides utilisées pour la maison et le ciel et les Forum Futura-Maison les forums de la maison Habitat bioclimatique, isolation et chauffage Maison au bord d'une voie ferrée, que faire  Répondre à la discussion Affichage des résultats 1 à 18 sur 18 08/10/2010, 18h58 1 ESTY14 Maison au bord d'une voie ferrée, que faire - Bonjour à tous, Je suis à la recherche d'une solution. J'ai acheté une ancienne gare et je suis actuellement en train de la rénovée. Il se trouve que je ne sais pas du tout quoi faire pour l'isolation. Aussi, je lance un à toutes les personnes susceptibles de m'aider. N'hésiter pas à me proposer des solutions. Dimension 3 niveaux avec 270 m² Construction de 1960. Merci d'avance. - 08/10/2010, 20h33 2 mimychatmiaou Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire Bonsoir, une question Meme si c'est une ancienne gare, la voie a proximité est desaffectée ? Une petite photo aussi ? 08/10/2010, 20h38 3 Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire Hello, Oui, en clair isolation thermique et/ou phonique ??? A+ 08/10/2010, 22h06 4 ESTY14 Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire Non, la voie ferrée n'est pas désinfectée. Les trains passent toujours par là. La maison de la gare a été remplacée par un abri et déplacée quelques mètres plus loin. Aujourd'hui A voir en vidéo sur Futura 10/10/2010, 09h13 5 Darth Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire Au moins y'en a un qui sera heureux les jours de grêve Sinon l'idéal c'est l'isolation par l’extérieur, à première vue le bâtiment s'y prête bien, il a des formes simples. L'isolation par l’extérieur va te paraitre cher, mais au final tu vas t'y retrouver en économies de chauffage, disparition des problèmes de pont thermique et simplification de la rénovation intérieure... Maintenant n'oublie pas que tu es à proximité de la voie et de la caténaire, il te faudra passer par RFF réseau ferré de France pour la mise en place d'un échafaudage à proximité du quai et surtout de la caténaire car il y a des règles trés strictes, un ouvrier ne doit pas pouvoir approcher d'une certaine zone, même sans toucher le fil de la caténaire 25000v on peut mourir d’électrocution rien qu'en tirant un arc! De même que l'échafaudage doit être correctement relié à la terre sous peine de choc électrique. Tout ça risque d'augmenter la facture! à toi de voir, mais l'isolation par l'exterieur reste le plus performant quand la maison le permet. Pour ce qui est du bruit... tu ne pourra pas faire de miracles à cette distance de la voie car tu aura toujours les vibrations transmises par le sol. A moins de mettre la maison sur des amortisseurs... Chaudière biomasse 10kw plaquettes, cereales, granulés 10/10/2010, 09h25 6 ericdu54 Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire bonjour juste une question quelle est l'orientation da la facade donnant sur la voie? 10/10/2010, 09h26 7 Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire Bonjour. L'ITE en fonction de l'isolant LDR/LDB apporte une protection efficace contre les bruits aériens. + Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César 10/10/2010, 09h34 8 Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire Envoyé par ESTY14 la voie ferrée n'est pas désinfectée.[/LIST] Bjr à toi, Va falloir sérieusement y songer , alors !! A+ 10/10/2010, 12h47 9 JC47999 Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire Il faut s’intéresser en priorité à l’isolation phonique des menuiseries et des entrées d’air qui constituent le maillon faible. Menuiseries doubles vitrages dissymétriques et entrées d’air correspondantes 30 – 35 – 40 Db etc…suivant PV d’essais. Pour aller plus loin, doubles fenêtres, mais ce n’est peut-être pas nécessaire. Egalement voir le problème des cheminées à boucher et la toiture à isoler par masse plaque de plâtre ou autre + ressort isolant fibreux. 10/10/2010, 15h34 10 ESTY14 Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire La façade qui donne sur la voie est orientée nord-est. 10/10/2010, 16h12 11 Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire En fait, où s'arrête la propriété? Au mur, à la verticale de la gouttière, au bord du quai ??? ça change les solutions... Jusqu'ici tout va bien... 10/10/2010, 16h14 12 ericdu54 Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire Bonjour Alors personnellement je serais radical je condamnerai totalement la facade vers la voie ferrée....Vous fermez toutes les ouvertures avec des parpaings ou autre et isolation extérieur avec de la laine de roche qui est un bon isolant sonore .... . Bien sur isolation extérieur pour le reste de la maison également Je ne pense pas que vous avez un projet de terrasse ou autre au bord de la voie.... 10/10/2010, 16h22 13 ESTY14 Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire Polo 974, La propriété s'arrête à 1,5m du mur face aux voies. 10/10/2010, 16h25 14 ESTY14 Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire Eric du 54, Si nous condamnons la façade vers la voie, il n'y aura pas de luminosité en bas. En plus, A l'étage les fenêtres des chambres sont de ce côté. 10/10/2010, 16h33 15 Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire je suis du même avis qu'ericdu54. sinon, les gens vont venir frapper chez toi pour acheter un billet tu ouvres des persiennes à l'étage, pour les chambres. c'est qd même incroyable que cette gare a été vendue, à qqs mètres du rail. même si certaines abritent des agents en logement de fonction, là, c'est pas le cas. Et si tu as des enfants, faut que tu clôtures sur les côtés... 10/10/2010, 16h35 16 ericdu54 Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire Ok je vois Une question vous êtes certain de l'orientation???? Car facade nord-est dit soleil le matin venant de la droite gauche de la photo et pas de soleil le soir et pourtant c'est l'inverse la ..... Je me trompe peut être mais chez moi la facade nord-est a le soleil a droite le matin et plus rien le soir.... 10/10/2010, 16h58 17 ESTY14 Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire palus06, c'était une gare qui habritait un ancien chef de gare et sa famille. En plus au deuxième étage, les combles sont aménagés en chambre où les intérimaires étaient logés. 10/10/2010, 17h01 18 ESTY14 Re Maison au bord d'une voie ferrée, que faire ericdu54, la deuxième photo montre l'autre côté de la maison. La façade est bien orientée nord-est. Sur le même sujet Discussions similaires Réponses 20 Dernier message 22/08/2008, 23h18 Réponses 0 Dernier message 11/07/2008, 11h55 Réponses 1 Dernier message 31/05/2008, 13h19 Réponses 1 Dernier message 17/05/2006, 13h21 Réponses 3 Dernier message 04/02/2006, 13h07 Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 08h43. Expositionprésentée au Grand Palais du 10 octobre 2012 au 28 janvier 2013 Les peintures d’Edward Hopper ont la simplicité trompeuse des mythes, l’évidence des images d’Epinal. Chacune d’elles est un condensé des savoirs hypothétiques, Bonjour, Voici ma question Quel est le lien entre le tableau "maison au bord de la voie ferrée"et le réalisme merci de me répondre Lista de comentários hirondelle52 Réponse Explications Bonjour, Le tableau est réalisé légèrement en contre bas des voies, comme le verrait un passant. nonikalash ExplicationsL'angle de vue dans laquelle Maison au bord de la voie ferrée a été peint et très semblable à ce que pourrait voir une personne passant aux alentours de la maison ce qui fait le réalisme de cette peinture More Questions From This User See All Le20 novembre à 13 heures au théâtre des Mathurins, 36 rue Mathurins, 75 008 Paris. 15 euros la place. Renseignements et réservations au 01 42 65 62 53. "Edward Hopper", Grand Palais, du 10
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\n \n edward hopper maison au bord de la voie ferrée
EdwardHOPPER – La maison au bord de la voie ferrée Edward HOPPER En 1925, Edward Hopper achève sa célèbre Maison au bord de la voie ferrée ( The House by the Railroad ), qui est considérée comme l’un de ses meilleurs tableaux. Découvrez son histoire avec Lauranne Corneau. Cliquer sur le bouton rouge pour lancer le commentaire audio. play 00:00
Edward Hopper - 'Les Faucons de la nuit' Nighthawks - 1942 NIGHTHAWKS 'Les Faucons de la nuit' Nighthawks - 1942, est le tableau le plus emblématique du peintre américain Edward Hopper, montrant des personnes assises dans un diner restaurant typique américain de centre-ville tard dans la nuit. C'est non seulement le plus célèbre tableau de Hopper, mais également l'un des plus marquants de l'art américain. Il fait actuellement partie de la collection de l’Art Institute of Chicago. La scène est inspirée d'un diner situé à Greenwich Village, quartier où habitait Hopper à Manhattan. La rue est vide, et à l'intérieur du diner, aucun des personnages n'a l'air de regarder ou de parler à autrui, tous semblent perdus dans leurs propres pensées. Deux d'entre eux forment un couple, tandis que le troisième est assis seul, ne montrant que son dos au spectateur. L'unique serveur du diner regarde à travers la fenêtre, sans regarder les clients. Ce portrait de la vie urbaine, parfois empreinte de vide et de solitude, est un thème récurrent dans l'œuvre de l'artiste. En regardant le tableau plus attentivement, on remarque que l'on ne voit pas de porte permettant de sortir du diner, ce qui illustre l'idée de confinement et de piège. Hopper a nié avoir eu l'intention d'exprimer cela dans Nighthawks, mais il admit que "inconsciemment, probablement, j'ai peint la solitude d'une grande ville". Edward Hopper – Autoportrait BIOGRAPHIE Edward Hopper 1882-1967, le plus américain des peintres. Poète réaliste, simple et énigmatique à la fois, Hopper, n'a jamais appartenu à aucun mouvement, ni aucune école. Ses peintures si accessibles sont parmi les plus reproduites aux Etats-Unis et dans le monde sur des objets de consommation de masse. En 2005, un tableau du peintre "Chair Car" a atteint aux enchères de Christie's 14 millions de dollars, un record pour l'artiste. Edward Hopper est né à Nyack, dans l’État de New York au sein d'une famille de commerçants. Il s’installa à New York, où il se forma au métier d’illustrateur dans la 'New York School of Illustrating'. Afin de compléter sa formation, il fit trois séjours à Paris, entre 1906 et 1910 et visita plusieurs pays d’Europe. Il tomba sous le charme de la culture française et resta francophile tout au long de sa vie. En 1925, Edward Hopper achèva sa célèbre 'Maison au bord de la voie ferrée' The House by the Railroad, qui est considérée comme l’un de ses meilleurs tableaux. L'œuvre entra dans les collections du Museum of Modern Art dès 1930, grâce à un don du millionnaire Stephen Clark. La même année, le 'Whitney Museum of American Art' acquiert le tableau 'Tôt un dimanche matin' Early Sunday Morning pour une somme importante. 1933 est marquée par la première rétrospective de l'œuvre de Hopper au 'Museum of Modern Art' de New York. En 1939, le peintre fit partie du jury du Carnegie Institute, avant d'être élu membre du 'National Institute of Arts and Letters' en 1945. En 1952, il exposa à la Biennale de Venise aux côtés de deux autres concitoyens. L’année suivante, il reçut le titre de Doctor of Fine Arts de l'Art Institute of Chicago. Hopper mourut le 15 mai 1967, dans son atelier près de Washington Square, à New York. Edward Hopper – Automat, 1927 LE PEINTRE DE LA MELANCOLIE Edward Hopper, figure des personnages anonymes et archétypaux, dont le visage ne trahit aucune émotion, comme si le décor ou la situation le faisaient pour eux. Pourtant, de ses toiles se dégagent diverses impressions le silence, la tension, l'exclusion, la mélancolie. Des rues désertes, des pièces aux dimensions exagérées mettent en valeur les personnages et suggèrent un effet d'aliénation. La lecture est dessinée comme alternative à leur solitude Chambre d'hôtel 1931 ou Compartiment C, voiture 193 1938 n'en sont que quelques exemples. Edward Hopper - Summer Interior, 1909 FRESQUES DE LA VIE AMERICAINE Les œuvres d'Edward Hopper sont le reflet de la vie quotidienne des Américains, l'american 'way of life', qui transparaît dans des détails réalistes enseignes publicitaires, mobilier urbain stations de service, motels, voies ferrées, rues désertes recréent une ambiance typique américaine. Les toiles d'Hopper témoignent d'une société en pleine mutation elles dépeignent essentiellement le cadre de vie et l'existence des classes moyennes, en plein essor dans la première moitié du XXe siècle. Hoper montre aussi la solitude dans les grandes villes et des personnages qui semblent regretter une certaine Amérique qui est en train de disparaître. Il traite également le sujet du nu féminin, de l'érotisme, du voyeurisme ou les rapports homme / femme. Connu pour ses silences monumentaux lorsqu'on l'interviewait, Edward Hopper avait coutume de répondre "si vous pouviez le dire avec des mots, il n'y aurait aucune raison de le peindre".
Maisonau bord de la voie ferrée (House by the Railroad en anglais) est un tableau de l'artiste américain Edward Hopper réalisé en 1925. Il s'agit du premier succès artistique et commercial du peintre . Le tableau est exposé au MoMa à New-York . Afficher plus
Compartiment C, voiture 193, 1930 De tous les peintres dont j’ai vu les œuvres, l’un de ceux qui me touchent le plus est Edward Hopper. Peut-être parce que chacune de ses toiles raconte une histoire ; peut-être aussi parce qu’aucune n’est véritablement ce qu’elle semble. Un observateur distrait dirait de son travail Voilà un homme qui, témoin de son époque, peint des villes, des paysages, des maisons ou des rues remplies de gens affairés ou songeurs. » Un observateur attentif se rendra compte que les rues sont presque désertes, les appartements étroits comme des boîtes, les maisons quasiment toujours isolées, abandonnées au temps et à la lumière. Quant aux sujets animés des œuvres, on les voit soit coincés entre des murs, soit confrontés à une nature immense, indifférente, un paysage dont on ressent la toute puissance, certes domptée pour quelque temps, mais prompte à se rapprocher, à enserrer et à menacer d’engloutir à nouveau le monde rectiligne et technique issu du cerveau humain. Continue la lecture →
EdwardHopper, né le 22 juillet 1882 à Nyack dans l’État de New York et mort le 15 mai 1967 à New York, est un peintre et graveur américain. Exerçant essentiellement son art à New York, où il avait son atelier, il est considéré comme l’un des représentants du réalisme américain, parce qu’il peignait la vie quotidienne des classes moyennes. For faster navigation, this Iframe is preloading the Wikiwand page for Maison au bord de la voie ferrée. Connected to {{ {{bottomLinkPreText}} {{bottomLinkText}} This page is based on a Wikipedia article written by contributors read/edit. Text is available under the CC BY-SA license; additional terms may apply. Images, videos and audio are available under their respective licenses. Please click Add in the dialog above Please click Allow in the top-left corner, then click Install Now in the dialog Please click Open in the download dialog, then click Install Please click the "Downloads" icon in the Safari toolbar, open the first download in the list, then click Install {{$ Achetezvotre reproduction sur toile du tableau Maison au bord de la voie ferrée par Hopper | Véritable tableau peint à la main | Plusieurs formats disponible. Achetez votre reproduction sur toile du tableau Maison au bord de la voie ferrée par Hopper | Véritable tableau peint à la main | Plusieurs formats disponible . Ignorer et passer au contenu Accueil Catalogue Catalogue

De Wikidata Aller à la navigation Aller à la recherche modifier Langue Libellé Description Également connu comme français Maison au bord de la voie ferrée peinture d'Edward Hopper anglais House by the Railroad painting by Edward Hopper DéclarationsIdentifiants Liens de site

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